vendredi 28 décembre 2007

"l'île au trésor" l'aventure commence...


Le jeune Jim Hawkins travaille à l’auberge de l’Amiral Benbow, mouillage idéal des navigateurs assoiffés, quand débarque le terrifiant capitaine Billy Bones. Dans le coffre du vieux marin, notre héros trouve la carte de l’île au trésor...Et l’aventure commence.Accompagné du Docteur Livesey et du farfelu châtelain Trelawney, Jim embarque sur l’Hispaniola.Mais l’équipage n’est en fait qu’une bande de pirates sous la houlette de l’impitoyable John Silver... Tout s’enchaîne sous les yeux du spectateur, le décor modulable fixé au tréteau devient l’auberge, le navire Hispaniola, le fortin sur l’île …Les péripéties se succèdent à boulets tirés et à roulés-boulés grâce à cette bande de joyeux forbans. Embarquez-vous dans l’aventure où les coups de couteau et les rasades de rhum sont de rigueur.Chantez avec nous : « Quinze hommes sur le coffre de l’homme mort et une bouteille de rhum…
»

Mise en scène alain H
Avec :
Michel Hulot
Albert Lerda
Eric Pécout
Guillaume Hennenfent
Barthélémy Giulj
Iwan Lambert
Costumes : Le Chat botté



















Ce spectacle de tréteaux a été conçu pour des représentations en salle et en plein air, son atout majeur est de pouvoir s’intégrer dans tout type de lieu. Il désacralise la relation au théâtre en s’installant au cœur de la cité, de la place du village ou de tout autre espace urbain ou naturel.






Conditions techniques

Cinq comédiens et un technicien
Durée du spectacle 1 heure 15
Temps de montage 4 heures
Espace scénique mini : 7 m x 5,5 m -
hauteur mini : 4,5 m
Pour les séances en extérieur :
Son et éclairage, peuvent être fournis
par la compagnie.
Le plateau étant situé à 90cm du sol,
il permet au spectateur assis sur une
chaise d’avoir une vision confortable
du spectacle.
(suivant le nombre de spectateurs
un gradin n’est pas indispensable).
Tarifs : nous consulter

mercredi 12 décembre 2007

Et l'Amérique découvrit C Colomb


Il y eut la découverte, puis la conquête du nouveau monde.
Il y a six siècles le prétexte majeur en était la foi,
La conversion religieuse,

Mais le véritable but était l’or.
Aujourd’hui le prétexte est le modernisme,
Le confort, le gain de temps,
Mais le but n’a changé que de couleur,
Et l’Amazonie se meurt…
Alors Christophe Colomb dans tout cela,
Doit-on le réveiller pour en faire un saint,
Ou doit-on le laisser dormir

Dans son caveau de La Havane, à fumer de gros cigares ?
Et l’Amérique découvrit Christophe Colomb
C’est un voyage dans la dérision,
La rencontre de personnages métalliques et froids,
Et d’autres chaleureux et drôles,
Contraste des matières, fusion des objets et des acteurs,

Regard d’enfant sur une histoire d’adultes,
Et symboles traduisant l’effort de l’homme pour
Déchiffrer un passé et un destin qui lui échappe.



ATTENTION, C’EST UN DÉTOURNEMENT… D’OBJETS !
Éric Pecout crée des personnages à partir d’objets qu’il récupère un peu partout, hommes robinets, hommes éponges, cafetière…Un bout de fil de fer, une passoire, un morceau de bois, tout est bon pour donner forme à ces marionnettes sans fil.
Les matières qui composent les personnages de l’histoire suggèrent les origines de tous les protagonistes, matériaux naturels pour les indigènes et métaux pour les occidentaux.
La main est instrumentiste et la voix du comédien anime de ces petits-hommes/objets, les éléments du décor se transforment en personnages, la magie opère… Et vogue l’aventure…



Mise en scène, Texte : Jean-Louis Kamoun

Avec :
Eric Pécout - Alain Harivel.

Scénographie, Objets : Eric Pécout
Musique originale : Paul Dame
Bande son : Gilles Olivesi


mardi 11 décembre 2007

CANDIDE

« Candide »



D’après le conte philosophique de Voltaire

Un héros à la recherche d’un amour perdu… qui affrontera la mort, rencontrera d’étranges personnages.
Et puis… viendra la fin des épreuves.


Le spectacle tient à la fois de la farce burlesque et de la parodie, du voyage picaresque et de la comédie musicale. Régal pour les yeux et pour les oreilles, la musique n’est pas utilisée comme le comédien pour illustrer le texte de Voltaire, elle le re-présente et le réactualise.
Il faut avoir entendu la Vieille chanter avec la voix rauque et pathétique d'une Damia, la triste histoire de l'humanité... un pur moment de « rock & roll » ; dans un tout autre registre la chorégraphie « music-hall » du quatuor de l'Eldorado, et le strip-tease de Cunégonde devant Candide au bord du suicide lorsqu’il apprend son viol par un Bulgare.



Cinq acteurs se démultiplient sous les personnages du Baron et de la Baronne de Thunder-ten-tronckh, de leur fils et de leur fille Cunégonde, de Pangloss le philosophe, de Paquette la servante, de Cacambo le fidèle ami de Candide, de la Vieille et de tant d'autres... tous librement inventés par les adaptateurs, Alain Harivel et Jean-Louis Kamoun. Seul Candide reste Candide d'un bout à l'autre de la pièce, certes un peu moins Candide à la fin, après avoir essuyé bon nombre d'aventures et d'épreuves. Voltaire lui-même, en robe de chambre et bonnet de nuit s'incarne sur scène pour initier notre Candide sur la médisance et la fourberie des hommes.